Petite histoire

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure!

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui. Je me devais de rester calme par contre.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui. Je me devais de rester calme par contre. Alors nous continuions notre chemin.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui. Je me devais de rester calme par contre. Alors nous continuions notre chemin. Puis soudain, je me figeai de peur.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui. Je me devais de rester calme par contre. Alors nous continuions notre chemin. Puis soudain, je me figeai de peur. Je m'arreta soudainement.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui. Je me devais de rester calme par contre. Alors nous continuions notre chemin. Puis soudain, je me figeai de peur. Je m'arreta soudainement. Au loin, je vis un ombre bizarre.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais evitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui. Je me devais de rester calme par contre. Alors nous continuions notre chemin. Puis soudain, je me figeai de peur. Je m'arreta soudainement. Au loin, je vis un ombre bizarre. A force que nous nous approchions, une silhouette familiaire se dessinait.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais évitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui. Je me devais de rester calme par contre. Alors nous continuions notre chemin. Puis soudain, je me figeai de peur. Je m'arreta soudainement. Au loin, je vis un ombre bizarre. A force que nous nous approchions, une silhouette familiaire se dessinait. Puis je reconnu cette personne.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais évitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui. Je me devais de rester calme par contre. Alors nous continuions notre chemin. Puis soudain, je me figeai de peur. Je m'arreta soudainement. Au loin, je vis un ombre bizarre. A force que nous nous approchions, une silhouette familiaire se dessinait. Puis je reconnu cette personne. C'était sa soeur, Mellie.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais évitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui. Je me devais de rester calme par contre. Alors nous continuions notre chemin. Puis soudain, je me figeai de peur. Je m'arreta soudainement. Au loin, je vis un ombre bizarre. A force que nous nous approchions, une silhouette familiaire se dessinait. Puis je reconnu cette personne. C'était sa soeur, Mellie. Elle arriva pres de nous.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais évitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui. Je me devais de rester calme par contre. Alors nous continuions notre chemin. Puis soudain, je me figeai de peur. Je m'arreta soudainement. Au loin, je vis un ombre bizarre. A force que nous nous approchions, une silhouette familiaire se dessinait. Puis je reconnu cette personne. C'était sa soeur, Mellie. Elle arriva pres de nous. Mon amie s'approcha pour la saluer.

Je marchais pour aller dans les bois afin de trouver mon amie. En arrivant aux abords, je crus l'entendre m'appeler. Alors je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient les sons de sa voix. Elle était simplement à quelques mètres de là. Je m'approcha d'elle et la salua. Ensuite, elle me dirigea vers un sentier. Je n'aimais pas beaucoup cet endroit. Faut dire que je ne suis pas une adepte du boisée. Mais je la suivais tout de même en l'écoutant me parler. Elle en avait besoin depuis que son copain l'a quittée rutalement la veille. Ce qui me degoutait pour elle d'ailleurs. Marie lui avait tout donné depuis 4 ans et le voilà parti pour une autre. Elle etait anéantie mais évitait de le montré. Elle s'arrêta tout d'un coup de marcher. Elle me regardait comme si elle voulait me dire quelque chose. Probablement la gêne qui la retenait de le faire. Elle ne préfera rien dire et continua sa route. Ce fut à mon tour d'arrêter. Elle ne s'y attendait absolument pas, je le voyais à son visage. Je tentai de lui expliquer qu'elle pouvait tout me dire. Et elle fondit en larme. Il lui était trop pénible de penser à lui mais ne pouvait s'en empêcher. Alors je la prit dans mes bras pour la consolé. Je ne cessai de lui rappeler que j'étais là pour elle et qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait l'air de se sentir plus rassurée en ma présence. Elle entreprit donc de me donner tous les détails de sa rupture. Et je l'ecoutais avec peine. Je ne pouvais pas comprendre il était parti ainsi. J'essayait de lui remonté le moral tant bien que mal en essayant de me mettre à sa place. Une chance que je n'étais pas devant lui car il aurait mon poing en pleine figure! Je commencais à etre très enervée à cause de lui. Je me devais de rester calme par contre. Alors nous continuions notre chemin. Puis soudain, je me figeai de peur. Je m'arreta soudainement. Au loin, je vis un ombre bizarre. A force que nous nous approchions, une silhouette familiaire se dessinait. Puis je reconnu cette personne. C'était sa soeur, Mellie. Elle arriva pres de nous. Mon amie s'approcha pour la saluer. Ce qu'elle était bizarre sa soeur.